chapitre 1 partie 2
Lorsque deux esprits créatifs se rencontrent en un lieu bien spécial,il arrive des choses merveilleuses.
Lorsque je rouvris les yeux,je vis que devant moi une jeune fille de mon âge qui était assise contre un arbre en face de moi.Elle m'observait avec un air amusée et curieuse.Ses yeux me posaient une question.
-Qui-est-tu?
A cette question je répondis ce que jamais personne ne peux dire a voix haute.Alors je répondis avec mes yeux.
-Personne...
-Moi aussi...as-tu un nom?
Il nous étaient impossible de parler avac la voix alors nous parlions avec les yeux et le corps.
-Oui...et toi?
-Moi aussi...
Je souris devant cette fille.
-Pourquois souris-tu?
-Je ne sais pas...
-Comment-t-appelle-tu?
-Eliott,et toi?
-Claire.
Pendant longtemps nous discutàmes despersonnes de notre entourage.Je me rendais compte que nous nous resemblions beaucoup.Tous les deux ayant des problèmes de sociabilité,s'enferment tous les deux dans notre imaginations ,chaquin à notre facon.Puis,elle me demanda
-Dis,...tu crois que l'on peux se toucher?
-...Non je ne crois pas...
Je ne saurais l'expliquer,mais il me semblais qu'il y avait une barrière entre nous que nou ne pourrions franchirent par la force ou la ruse.
-C'est dommage,j'aimerais te toucher.
-Moi aussi, je donnerais tout mes biens materiel de ce monde pour te toucher...
-Moi également...
-Vraiment?,demanda une troisième voix,donneriez-vous vraiment tout pour vous toucher?
-Oui,rèpondîmes en coeur
-Bien...alors marché conclut.Je vais vous permettrent de vous toucher, mais en échange,vous retrouverer le saphire de l'étoile.D'accore?
-Oui.
-Alors avancer jusqu'au centre de la clairière.
Comme plongés dans une sorte de transe,nous obéîmes.Une fois arrivé au centre, nos mains s'effleurairent,nous frisonnâmes de plaisir à ce simple contacte.Puis,notre bras droit se posa sur la hanche de l'autre,remonta dans le dosavant de nous pousser contre l'autre,une main contre la nuque,l'autre sur la hanche opposée et nos fronts l'un contre l'autre.Autoure de nous, la terre se changeait en une eau au reflet argenté,mais nous ne enfensions pas, nos lèvres à quelque centimètres l'une de l'autre,se raprochaient lentement,s'effleurairent,jouairent un peu avant de se trouver réélement,tandis que l'eau montait,rien ne comptaient plus que nous deux,corps contre corps,lèvres contre lèvres.